Le 13 janvier 2021, l’éditeur Ubisoft a annoncé un partenariat avec le studio Lucasfilm Games. Le but de cette association est de développer un nouveau jeu vidéo en monde ouvert dans l’univers de Star Wars.
Écoutez les explications du co-fondateur et PDG d’Ubisoft
Yves Guillemot, le PDG et co-fondateur d’Ubisoft, a déclaré dans un communiqué que « la richesse de l’univers Star Wars est une source d’inspiration fabuleuse pour nos équipes ». Le dirigeant d’Ubisoft a aussi fait ressortir que ce prochain jeu est le début d’un partenariat à long terme avec Disney et le développeur Lucasfilm Games.
Une nouvelle aventure Star Wars à l’horizon
La nouvelle aventure narrative en monde ouvert sera dirigée par Massive Entertainment, qui est notamment connu pour « Far Cry 3 » ou encore « The Division 2 ». Il s’agit de la branche suédoise du studio Ubisoft. L’éditeur français a précisé que les informations sur la date de sortie du jeu de science-fiction, qui devrait plaire aux gamers, seront communiquées ultérieurement. Le gameplay non plus n’a pas encore été dévoilé.
Douglas Reilly s’est confié sur ce projet ludique d’Ubisoft
Le vice-président de Lucasfilm Games, Douglas Reilly, explique qu’Ubisoft a un savoir-faire unique dans la création de mondes immersifs. Selon lui, l’éditeur Ubisoft a l’expérience, la créativité ainsi que la proximité nécessaire avec la communauté « pour insuffler une authenticité incroyable, une profondeur et un caractère innovant à ce nouveau jeu ». Le label historique Lucasfilm souhaite également revenir sur le devant de la scène avec de nouvelles aventures épiques et notamment celles du héros Indiana Jones. Le grand retour de ce dernier sur les consoles a été annoncé le 12 janvier 2021 sur Twitter par l’éditeur Bethesda.
L’histoire de la saga Star Wars de nombreux jeux vidéo
Lancée en 1977, la franchise de jeux de l’empire galactique a vu naître une foule de titres vidéoludiques. Ces sorties ont toujours été très suivies par les fans de la saga. Selon le site tomshardware.fr, il est « impossible de nier [son] impact sur la culture de ces trente dernières années ».
Avec l’ETX Studio/AFP